HOMMAGE
20/04/2008 14:18 par unpeudemoi
Tu es parti retrouver
Celle qui, il y a 6 ans, t'a laissé
Te voilà maintenant auprès d'elle
Pour un ballet éternel.
Restent tes enfants
Ainsi que tes petits enfants
Ceux pour qui tu t'inquiétais
Et pour qui tu vivais
Au delà de la douleur
Ils ont toujours été ton moteur
Jusqu'à ce mardi où trop usé
Tu n'as plus eu la force de lutter.
Tu nous laisses beaucoup de souvenirs
Nous qui avons perdu le sourire
Nous qui aurions encore voulu te chérir
Nous qui nous disons: il a fini de souffrir.
Toi le père et le grand père attentionné
De là haut tu vas nous protéger
Avec maman vous veillerez sur nous
Et nous, nous penserons à vous.
Repose en paix mon papa bien aimé
Que les anges t'accompagnent, tu l'as mérité
La terre te cache mais notre coeur te voit toujours
Que ton repos soit doux comme ton coeur fut bon.
Côtoyer les gens virtuellement
Est une très belle étude de comportement
Seuls quelques uns sont égaux à eux même
Réels ou virtuels, parler avec eux est un poème.
D'autres catégories se greffent là dessus
Les AMERS frustrés de la vie
Qui déchargent leur rancoeur sur le premier qui les contredit
Les PLEUREUSES lesquelles sont les seules à avoir des soucis
Y trouvent un public attentif et ne finissent jamais leur lithanie
Les DEPRESSIFS les SOLITAIRES juste de basiques besoins
Simplement qu'on leur tende la main
Les RECHERCHES SEXUELLES dérivées du minitel rose
Derrière un écran c'est vrai, on ose!
Les SOURNOIS qui ont une double personnalité
Jekyll ou mister Hyde , fonction de leur agressivité
Les DOUBLE-FACES tantôt je charme, tantôt j'agresse
Fonction de la personne à qui l'on s'adresse
Les LECTEURS qui n'osent s'insérer par timidité
Où peut être par peur d'être,dans un flot, happés
Les JE M'ETALE pour qu'on ne voit qu'eux
Le tout est d'en mettre plein les yeux.
J'en oublie certainement
Et parmi tout ce panel, malgré tout humain
Quelques êtres dits "normaux"
Etudient, observent tout ce troupeau
Tout ce défilé permanent de mots
Ecrits volontairement ou par égarement
Amusant, blessant, incohérent
Le tout est de passer un moment
Bon pour les uns mauvais pour les autres
Le parcours ne sera jamais sans faute
Les coupures sont là pour nous rappeler
Qu'un écran d'ordinateur ne vaudra jamais
Pour que deux vies changent
Il suffit juste de quelques échanges.
Un mot pour redonner le sourire
Un geste pour saisir l'envie de vivre
Un regard qui, à lui seul, sait rassurer
Et arrive à redonner la sérénité.
Ces gens qui courent autour de moi
Qui ne me voient même pas
Qui me laissent dans mon isolement
Ignorant ce que je ressens
Ils ne sauront en aucune manière
Que dans mon coeur c'est toujours l'hiver.
Une note qui remplace un corps
Corps qu'un amour adore
Ce corps qui n'est bien que dans l'ombre
Où pleuvent les caresses en grand nombre
Ou seulement deux yeux se posent sur lui
Et deux mains lui offrent des morceaux de paradis.
Vie remplie, bien rangée
Ne supportant aucun écart
Que la morale ne réprouve
Pourvu que l'on reste dans la grisaille, englués
Pourvu que tout le monde approuve
Peu importe de s'enfoncer dans le noir.
Exprime toi, libre tu es enfin
Libre de sauter de joie, de crier
Libre d'évacuer toutes ces idées
Laisse les partir au loin.
Elles n'assombriront plus tes lendemains
Tant que nous serons main dans la main.
Filons vite au bout du chemin
Celui où nous nous donnons la main
Celui qui n'appartiendra qu'à nous
Celui qui nous a rapproché, protégé
Celui dont on a hélas vu le bout
Mais qui sera, dans nos coeurs, à jamais gravé.
Ad vitam tu resteras mon amour
Ad vitam je ne t'oublierais jamais
Ad vitam tu as été le seul recours
D'une vie que je croyais condamnée
Ad vitam de te faire souffrir, je m'en voudrais
C'est hélas un grand regret!
Jour après jour, aimer ce corps
Le découvrir encore et encore
En connaître tous les contours
Apprécier chaque courbe, chaque rondeur
Laisser libre cours à son coeur
Et redécouvrir le grand amour.
Deux âmes esseulées
Perdues dans un monde étranger
Reliées par un fil invisible
Prises quelquefois pour cibles
L'envol est leur seul espoir
Pour sortir de la nuit noire.
Oeuf,vie humaine en devenir
Oeuf où s'étouffent souvent les idées
Simplement consommé
Pour le palais ,un pur plaisir
Mais la naissance d'un être vivant
Restera le plus beau des moments.
Découvert par le plus pur hasard
Endroit où l'on oublie son cafard
Où le temps s'arrête, suspendu
A un geste, un regard soutenu
Havre de paix, reposant les âmes
Protégeant l'amour d'un homme et d'une femme.
JE T'AIME:trois mots qui veulent tant dire
Murmurés quelquefois dans un soupir
Ecrits sur un bout de papier
Ou chuchotés suite à un baiser
Tout au long de l'année ou toute la journée
Vous ne lui direz jamais assez!
Couleurs pour cacher l'ennui de la vie
Essayer de trouver un peu de soleil
Surmonter la lassitude, l'oubli
Aller de l'avant, sortir du néant
Une petite touche d'orgueil
Peut nous faire faire des pas de géant.
Repos des doigts, repos de la pensée
Dans l'ombre, comme ce clavier
Une petite pause salutaire
Avant de repartir, volontaire
Dans une quête de sentiments
Retranscrits au travers d'un écran.
Chercher le pourquoi du comment
Jusqu'à en avoir mal à la tête
Pour contourner tous les tourments
Qui nous mettent le coeur en miette
La réponse, nul ne la trouvera
L'homme est juste trop compliqué,voilà!
Ce tunnel qui nous attire
Ce tunnel qui nous fait peur
Nous entraîne-t-il vers le bonheur?
Ce trou noir qui nous aspire
Nous emmenant malgré nous
Dans un tourbillon des plus fous!
Lieu de rencontre,de perdition
De bagarres ou de belles histoires
Cadre digne d'un film d'amour
Lumières des néons ou lumière du jour
L'alcool donnant du courage illusoire
Pour oser avouer certaines passions.
Personnages venus du passé
Générations rassemblées
Ces photos auxquelles on tient tant
Colorisées pour être dans l'air du temps
Ce flou gardant une part de mystère
Comme les secrets de nos grand-mères.
Cette chaise vide signe de ton absence
Depuis la vie n'a aucun sens
Où es-tu parti, qu'es-tu devenu ?
Es-tu entré dans le cercle des poètes disparus?
Toi, qui illuminait la pièce de ton aura
Personne ne te remplacera!
Un ange qui passe
Ne laissant qu'une infime trace
Un peu de douceur, un peu de chaleur
Assez pour réchauffer le coeur
D'un pauvre terrien malheureux
Qui se rend compte que la vie n'est pas un jeu.
Déchirure d'une vie que l'on croyait sage
Brisée à jamais lorsque tu es parti
Tu t'es juste rapproché du paradis
Le vide laissé n'est pas comblé
Ton absence ne sera jamais remplacée
Continue de veiller sur nous , du haut de ton nuage!
Toutes ces années accumulées
A attendre et espérer la folle passion
L'horloge du temps défilant
La vieillesse arrivant
Se dire saison après saison
Que notre vie est en train de nous échapper.
Breuvage digne des Dieux
Lâchant tes bulles une à une
De préférence à boire à deux
Les yeux dans les yeux
Comme deux amoureux
Se promettant
Pétillants comme un lever de soleil
Tristes quand nous sommes séparés
Tes yeux sont le reflet de tes pensées
Comme l'immensité du désert
Dans ton regard je me perd
Tu es une source d'inspiration sans pareille.
Mer et ciel qui se mélangent en un seul décor
Tu es la caresse de l'eau
Je suis la chaleur de l'air
Faire d'un simple corps à corps
Quelque chose de beau
Naturellement et sans aucunes manières.
Est-ce le temps qui défile inlassablement
Qui rend notre âme si grise?
Ce même temps passé ou présent
Assèche-t-il notre coeur ?
Ce temps qui,quelquefois, se fige sur une heure
Nous maintient-il sous son emprise?
Pour cette série d'articles, un genre nouveau.
Les textes sont pris au hasard dans une série de textes, écrits par moi même, et servant à commenter des photos. Ces photos ne m'appartenant pas je ne puis m'en servir ici. J'ai préféré mettre des photos de nus , bien plus jolies que n'importe quelles autres !
Toile d'araignée, fils d'amour
Me laisser prendre dans tes filets
Ne vouloir aucun secours
Pour venir me délivrer
Continue de tisser ton cocon autour de moi
C'est un tel bonheur d'être ta proie.
Avant ET après la bombe
Quelle est la différence?
La parole, certains n'y ont jamais droit
La vue des choses, une question de choix
Cette longue route, ce silence
Avant OU après, on reste seuls au monde!
On se laisse vite envahir
Par des flots de sentiments
Un simple voile peut tout gâcher
Juste se découvrir doucement
Laisser la passion grandir
Jusqu'à avoir l'envie de s'y noyer.
Ces heures passées à t'attendre
Me semblent bien dérisoires
Car tes gestes si tendres
Me font croire en un futur moins noir
Au bout de cette route, je ne vois que ton regard
M'enveloppant et me guidant au milieu du brouillard.
La profondeur de mon amour pour toi
Equivaut à celle de l'océan
Chaque jour qui me sépare de toi
Est pour moi un vrai tourment
Un jour viendra, nous nous retrouverons
Pour vivre l'immensité de notre passion.
Tunnel de l'amour
Inondé jour après jour
De sentiments si controversés
Et de gestes non contrôlés
De l'angoisse, attendre la décrue
Et voir ainsi le chemin parcouru.
Bonne année 2008 à tous les visiteurs de ce blog. Je vous souhaite ce que vous espérez tout simplement.
Gutes neues jahr
e gudd neit joer
happy new year
e gleckliches neies
bloavezh mat
bon any nou
pace e salute
ia orana ite matahiti api
On avait réussi à recréer une belle amitié
Et ce, en dépit des années qui nous avaient séparé
On pensait qu'elle durerait toujours
Mais la vie nous joue toujours des tours.
Tu étais mal chez toi
Tu t'étais rapprochée de moi
Un élément familial te faisait du mal
Tu ne trouvais pas cela normal.
Maintenant les choses ont changé
TU as changé!
L'élément perturbateur s'est assagi
Et tu lui as passé tout ce que tu as subi.
Tu as déménagé par la force des choses
La vie n'a pas été tous les jours rose
Suite à ton nouveau départ
C'est moi qui me retrouve à l'écart.
Nous nous côtoyons presque tous les jours
Et pourtant je n'attends aucun retour
Oubliées les sorties, la complicité
Tu as rayé notre amitié.
Tu as changé tes priorités
Tu as sacrifié les liens sacrés
Au profit d'un retour dans le passé
Qui ne sera que de courte durée.
Mon coeur saigne de ce revirement
Où est mon amie d'avant?
Quand je la vois, je suis amère
Amour ou amitié, tout n'est qu'éphémère!
Noir, symbole de la profondeur
Instigateur de toutes les peurs
Noir, symbole du néant
Pour le repos de tout être vivant.
Noir, repos de l'âme et du corps
Par excellence signe de mort
Noir, peut-être aussi un mode de vie
Un pied de nez à ce qui est établit.
Noir, que l'on aime revêtir
Noir, que l'on aime ressentir
Pour se plonger dans un monde inexploré
A chaque instant, prêt à nous absorber.
Noires comme certaines idées
Qui souvent viennent nous perturber
Noir comme un tunnel sans fin
Happant le moindre signe de déclin.
Noir comme l'endroit où l'on se plonge
Quand les maux de la vie nous rongent
Noir comme cet aigle noir
Qui s'est envolé avec tout mon espoir.